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L’Association des usagers de banque (Afub) a reçu à ce jour environ 500 plaintes d’emprunteurs de crédit immobilier à taux variable qui en contestent la révision. Ces derniers savaient que leurs mensualités ou leur durée d’emprunt augmenteraient en fonction de l’évolution des taux mais dans la limite du plafond par lequel ils se croyaient protégés. Or, dans les faits, ces emprunteurs doivent faire face aujourd’hui à des mensualités bien supérieures. Le Crédit Foncier représente 58% des contrats incriminés, le Crédit Immobilier de France comptabilise 13% des plaintes, le CIC 5%, les Caisses d’Epargne 4%, le spécialiste UCB 4%. D’autres établissements comme la banque Royal Saint Georges ou GE Capital Bank sont également pointés du doigt.